dimanche 2 mars 2014

24 février – Barbuda, Cocoa Pointe

Après une bonne nuit de sommeil, sans Bounboum, sept heures trente, l’ancre est levée, la grande voile hissée avec deux riz et le génois pleine grandeur.  Nous avons une bonne vitesse, malgré le prêt que nous faisons.  Le vent oscille entre quinze et vingt nœuds.  Dans le grain le vent monte à vingt cinq nœuds.  Mais nous sommes choyés.  Il en passe un devant qui nous épargne, mais écopons celui qui suit dernière nous.  Quinze minutes et c’est fini.  Cela rince nos voiles.   Mais après le grain, le vent tombe à huit nœuds.  On se traîne, on se fait brassé par la vague.  Pas assez de vitesses.  Capitane lance : ‘’on relâche un riz?’’.  Si tôt dit le vent remonte et notre vitesse aussi.  Barbuda est une île sans montagne, plate.  Alors à l’approche tout ce que nous réussissons à voir, une demie heure avant l’arrivée, ce sont des palmiers.  Midi trente on jette l’ancre après une navigation de vingt six miles.  Nous sommes dans la baie de Cocoa Pointe,  où une plage  au sable rosé s’étend à perte de vue.









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