mercredi 29 janvier 2014

17 Janvier – Martinique Ste-Anne (en auto)

Ayant loué une voiture avec les Vomo et leurs invites, nous en profitons pour  aller explorer du coté nord est de l’île, soit la partie au vent de l’ile.  Normand conduit  merveilleusement bien,  ce véhicule à neuf passagers, qui est manuelle.  Des courbes et des montagnes, il y en a plus que nous le souhaiterions.  Notre première escale s’effectue à Ste-Marie, où est située la rhumerie et musée de St-James.   Dans une vieille maison type coloniale, on retrace l’histoire du rhum agricole à la Martinique au travers  d’une exposition de photographies et ancienne affiche présentant la culture de la canne, les étapes d’élaboration du rhum au vieillissement en fût.  Le musée est contigu à la distillerie.  Fondée en 1765 à St-Pierre, fut re-centralisée  à Ste-Marie après l’éruption de la montagne Pelée, en 1902, où dans la ville, il n’y eu qu’un seul survivant.  Au musée, on y retrouve de bien vieux équipements ayant  servies  au alambic d’autrefois.  Très intéressant et instructif à la fois.



































Nous arrêtons à l’anse Charpentier  pour la pause du midi.  Après s’être bien régalé, une petite marche le long de la baie.  Une autre vue magnifique  de la mer entrant dans la baie, coté vent de l’ïle.










Après la petite marche sur la plage, nous nous rendons au musée de la Banane.   Si au départ j’étais septique tant qu’au contenue de ce musée, je fus confondue…..J’ai découvert que ce charmant fruit que nous mangeons si quotidiennement, existe en plus de milles saveurs.  Que le bananier est une herbe, et qu’elle est la plus haute au monde.  Nous avons bien appréciés et fait de biens belles découvertes.




















Puis nous terminons notre journée par la visite du Château Dubuc.  C’Est en 1657 que Pierre Dubuc, originaire de Normandie, débarque en Martinique, participe à plusieurs expéditions contre les indiens Caraïbes et reçoit en récompense une concession dans la région de la Trinité où il s’installe à partir de 1671.   C’est son petit-fils Louis Dubuc du Galion qui fixe dans la pierre la puissance de cette famille en construisant l’habitation Caravelle, qui devait devenir le ‘’Château DUBUC’’.   Ce domaine aura une activité florissante durant le XVIIIème siècle, avant de décliner.  Dès 1770, le château Dubuc est progressivement abandonné à la suite du terrible cyclone de 1776 e de la gestion désastreuse qui découle de la participation des Dubuc à différents combats contre les anglais.   Voici quelques photos témoignant de la grandeur et de l’isolement de ce domaine habitation en bordure de la Baie du Trésor.
























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